Au cœur du débat public

Paru le 27/04/2023

Insertion, démographie des professionnels de santé, retraite… les travaux de la DREES sont au cœur de l'actualité et souvent mobilisés dans le cadre du débat public.

Vous trouverez, dans cette rubrique, les études, ouvrages et données sur ces sujets.

La création de France Travail vise à améliorer l’offre de service en direction des personnes les plus éloignées de l’emploi avec notamment la réforme de l’accompagnement des bénéficiaires du RSA et l’amélioration de l’accès à l’emploi des personnes handicapées. La DREES a publié récemment plusieurs études sur ces sujets, qui éclairent notamment la situation des personnes handicapées par rapport à l’emploi, les freins à l’emploi des bénéficiaires du RSA et leurs attentes en matière d’accompagnement.

L’emploi des bénéficiaires du RSA

Parmi les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) fin 2018, 15 % ont un emploi à cette date et 39 % ont travaillé au cours de l’année 2019. Le retour à l’emploi, sans être majoritaire, n’est pas rare : 29 % des bénéficiaires sans activité fin 2018 en ont eu un en 2019. Le plus souvent peu qualifié, le travail des bénéficiaires du RSA se caractérise aussi par une forte précarité. L’étude de la DREES montre qu’avoir travaillé dans l’année ne garantit pas de sortir des minima sociaux, en tout cas pas de manière pérenne. Cela s’explique principalement par le faible nombre d’heures travaillées par la plupart des bénéficiaires salariés et, en conséquence, par leur faible rémunération salariale au total.
Accéder à l’étude et à la video

Les freins à l’emploi des bénéficiaires du RSA

Deux tiers des bénéficiaires du RSA fin 2017 se trouvant au chômage en 2018 déclarent être freinés dans leurs démarches de recherche d’emploi. Parmi eux, près de la moitié cite comme principal obstacle l’absence de moyen de transport ou le coût des déplacements.

Parmi les bénéficiaires du RSA sans emploi qui ne recherchent pas d’emploi mais qui souhaiteraient travailler, 40 % affirment que leurs problèmes de santé sont la raison principale pour laquelle ils ne tentent pas de trouver un travail.

Consulter l’étude

Les besoins d’accompagnement des bénéficiaires du RSA

Trois bénéficiaires du RSA fin 2017 sur cinq ont eu, en 2018, au moins un besoin d’aide en matière professionnelle ou sociale qui n’a pas donné lieu à un accompagnement. Seul un tiers des bénéficiaires ont déclaré avoir eu un accompagnement à visée professionnelle ou sociale au cours de l’année 2018. Les bénéficiaires connaissent par ailleurs assez mal l’organisation institutionnelle prévue pour leur accompagnement. L’enquête de la DREES auprès des bénéficiaires de minima sociaux (enquête BMS), réalisée fin 2018-début 2019, permet également de savoir quelles sont les aides souhaitées mais non reçues par les bénéficiaires du RSA selon leur statut d’activité.

L’emploi des personnes en situation de handicap

L’ouvrage Le handicap en chiffres propose un état des lieux du handicap en France, avec un chapitre consacré à l’emploi.

En 2021, 44 % des personnes âgées de 15 à 64 ans déclarant disposer d’une reconnaissance administrative d’un handicap sont actives au sens du Bureau international du travail (BIT) [en emploi ou au chômage], contre 73 % pour l’ensemble de la population de cette tranche d’âge. Le taux de chômage des personnes actives reconnues handicapées s’établit quant à lui à 15 %, contre 8 % pour l’ensemble de la population.

Lorsqu’elles travaillent, les personnes reconnues handicapées de 15 à 64 ans exercent une moins grande variété de métiers par rapport aux autres personnes : 20 professions représentent 37 % de l’emploi des personnes reconnues handicapées, contre seulement 25 % de l’emploi des personnes sans reconnaissance.

Les professionnels de la santé et du social sont au cœur de l’attention des pouvoirs publics, dans un contexte marqué par des tensions sur les ressources humaines et une insuffisante attractivité. La DREES contribue à l’observation de ces métiers en publiant, chaque année, de nombreuses études, jeux de données et datavisualisations. Au-delà du suivi statistique des effectifs et caractéristiques des professionnels en exercice, elle produit des indicateurs sur leur accessibilité, analyse leurs conditions de travail et d’exercice, réalise des projections démographiques et produit un bilan annuel sur les inscrits et les diplômés dans les différentes formations préparant à ces métiers.

Les inscrits et diplômés en formations sanitaires ou sociales 

En 2022, 58 000 étudiantes et étudiants, dont 84 % de femmes, sont inscrits dans l’une des 1 110 formations aux professions sociales en France métropolitaine et dans les départements et régions d’outre-mer (DROM).

Parmi eux :

  • 14 600 sont en formation d’éducateur spécialisé ;
  • 10 400 en formation d’accompagnant éducatif et social ;
  • 7 100 en formation d’assistant de service social.

Le nombre de personnes inscrites baisse très légèrement en 2022 tandis que le nombre de diplômés, hors validation des acquis de l’expérience (VAE) et allègement de scolarité, s’établit à 21 300, en hausse de 4,8 % par rapport à 2021. Le taux d’interruption définitive en cours de formation atteint 7,2 %. 

La même année, 171 502 élèves et étudiants, dont 84 % de femmes, sont inscrits dans l’une des 1 357 formations aux professions de santé en France métropolitaine et dans les DROM. Parmi eux, 96 285 sont en formation d’infirmier (toutes années de scolarité confondues). Le nombre d’inscrits dans l’ensemble des formations a augmenté de 1 %, après +5 % en 2021. Le nombre de diplômés, quant à lui, est relativement stable, avec des variations selon les disciplines.
Enfin, 10 % des étudiantes et étudiants de première année ont interrompu leur scolarité, provisoirement ou définitivement.

Les abandons en école d’infirmier

Depuis 2019, le nombre d’étudiantes et d'étudiants en première année de formation d’infirmier augmente fortement. En 2021, 10 % ont abandonné leurs études en première année, soit trois fois plus qu’en 2011 (3 %). Le taux d’abandon en deuxième et troisième années est également élevé. D’autres formations aux professions de santé sont également affectées par une hausse des abandons, notamment en formation d’aide-soignant ou de manipulateur d’électroradiologie médicale.

La démographie des professionnels de santé 

La DREES actualise chaque année les données sur la démographie des professions médicales et paramédicales. 

Sous hypothèses de comportements constants et de législation inchangée, les effectifs de médecins devraient stagner jusqu’en 2027, avant de connaître une hausse assez importante jusqu’en 2050 (+1,7 % de croissance annuelle moyenne des effectifs entre 2030 et 2050). Néanmoins, en raison de l’augmentation et du vieillissement de la population, la densité médicale standardisée, qui rapporte les effectifs médicaux à la population tout en tenant compte de la plus grande consommation de soins des plus âgés, devrait diminuer légèrement en France dans les années à venir, avant d’augmenter à nouveau. La DREES procède également à la déclinaison régionale de ces projections.

Les trajectoires professionnelles des infirmières hospitalières

Dans une étude parue en 2023, la DREES a analysé les parcours des infirmières hospitalières entrées dans la profession entre 1989 et 2019. Plus d’une sur cinq quitte l’emploi salarié après dix ans de carrière. Une sur dix l’a quitté pour un exercice libéral exclusif.

Qui sont les assistantes familiales ?

Fin 2021, en France métropolitaine, 74 700 mineurs et jeunes majeurs âgés de moins de 21 ans sont accueillis par près de 38 000 personnes exerçant le métier d'assistant familial. Dans une étude qui leur est consacrée, la DREES montre que neuf assistants familiaux sur dix sont des femmes et que la moitié d’entre eux ont 55 ans ou plus. Il s’agit de professionnels très engagés au quotidien, ayant souvent connu une première carrière dans d’autres métiers du social. Les personnes exerçant le métier d'assistant familial travaillant en 2021 sont relativement nombreuses à avoir été elles-mêmes accueillies par l’aide sociale à l’enfance (ASE) au cours de leur enfance (15 %), soit environ cinq fois plus souvent qu’en population générale.

L’accessibilité aux professionnels de santé

La DREES actualise chaque année l’indicateur d’accessibilité potentielle localisée (APL) qui mesure l’adéquation territoriale entre l’offre et la demande de soins de ville (hors hôpital). Cet indicateur tient compte à la fois de la proximité et de la disponibilité des professionnels de santé, il est donc plus fin que les indicateurs usuels de densité ou de temps d’accès. Calculé au niveau de la commune, il tient compte de l’offre et de la demande des communes environnantes et intègre une estimation du niveau d’activité des professionnels en exercice, sur la base des observations passées, ainsi que des besoins relatifs de soins de la population locale, sur la base des consom< mations de soins moyennes observées par tranche d’âge.

Les dernières données disponibles montrent qu’en 2022 :

  • l’accessibilité aux médecins généralistes continue de se dégrader, mais à un rythme moins important que les années précédentes ;
  • l’accessibilité aux sages-femmes, kinésithérapeutes,chirurgiens-dentistes et infirmières s’améliore.

Les pratiques et conditions d’exercice des médecins généralistes font par ailleurs l’objet d’une enquête nationale régulière. 

L’accessibilité géographique à l’offre médico-sociale et sanitaire pour les personnes âgées

Dans une étude parue en 2023, la DREES et l’Institut des politiques publiques (IPP) se sont attachés à mettre en regard l’offre médico-sociale et sanitaire pour les personnes âgées, c’est-à-dire l’ensemble des professionnelles intervenant auprès de personnes âgées pour prendre leur perte d’autonomie en charge, avec la demande potentielle à proximité, mesurée par le nombre de personnes âgées de 60 ans ou plus. 

En 2019, 515 000 professionnelles (en équivalent temps plein [ETP]) travaillent dans le secteur sanitaire ou médicosocial de l’accompagnement des personnes âgées en France métropolitaine. En moyenne, 3 267 ETP exercent à moins de 60 minutes du domicile pour 100 000 personnes âgées de 60 ans ou plus. L’accessibilité géographique à l’offre totale n’est pas homogène sur le territoire métropolitain. L’accessibilité géographique est plus faible dans les régions autour de l’Île-de-France (Oise, Seine-Maritime, Eure, Orne, Eure-et-Loir, Sarthe, Loiret-Cher), tout comme dans les régions montagneuses (Alpes, Pyrénées, Vosges, Jura) et le Grand Est. Les communes de la moitié sud, ainsi que celles proches des frontières du nord, ont une accessibilité géographique aux aides à domicile plus élevée, tandis que les communes de Bretagne, des Pays de la Loire et celles se situant à l’intérieur des terres présentent une accessibilité plus forte à l’offre en établissement. 

Ces travaux seront poursuivis par la DREES et viseront à affiner la méthodologie concernant l’estimation de la demande potentielle au niveau local.

 Ce dossier est issu du rapport d’activité de la DREES
En 2023, la DREES a fêté ses 25 ans ! 25 ans de production statistique marqués par plus de 2 000 études et 60 ouvrages sur la santé et les solidarités afin de répondre au besoin croissant d’éclairage objectif sur ces sujets. Le rapport d’activité présente un condensé des travaux parus en 2023 avec un focus particulier sur les professionnels de la santé, du social et du médico-social. 

La DREES apporte son appui à l'évaluation des politiques publiques en matière de retraite grâce à une importante production statistique. Son modèle de microsimulation TRAJECTOIRE permet de simuler les effets des différents scénarios de réforme.

La DREES édite chaque année un ouvrage de référence sur "Les retraités et les retraites". Elle publie également de nombreuses études et jeux de données qui complètent cet état des lieux avec des données actualisées.

Ouvrage de références – données 2021 :

Panorama "Les retraités et les retraites"

Nombre de retraités, profils, montants des pensions, niveau de vie… cet ouvrage, qui comporte 33 fiches thématiques dresse un état des lieux complet à partir notamment des enquêtes statistiques annuelles menées par la DREES auprès des organismes de retraite et d’autres sources produites par l’Insee ou la Dares par exemple.

Dernière édition disponible : 2023

 

Age conjoncturel de départ à la retraite

 

Jeux de données – données actualisées 2021 :

Données jusque fin 2021 sur :

  • les effectifs de retraités,
  • les montants de pension,
  • les âges de départ à la retraite.

Ces données seront analysées plus en détail dans le Panorama "Les retraités et les retraites" à paraître au printemps 2023.

 

     
  Au-delà d’études et données sur la retraite, la DREES publiée également chaque année l’indicateur de l’espérance de vie sans incapacité, qui correspond au nombre d’années qu’une personne peut espérer vivre sans être limitée dans les activités de la vie quotidienne. Cet indicateur est largement mobilisé dans le cadre du débat sur la réforme des retraites.  
     

Pour en savoir plus :

Sources et enquêtes :


Plus de contenus sur la retraite

 

La DREES, qui intervient  en appui à la conception et à l’évaluation des politiques publiques, a été fortement impliquée sur les enjeux sanitaires et sociaux posés par la crise sanitaire.

Dans le champ de la santé, elle a mobilisé son expertise pour mettre en place et exploiter des systèmes d'information dans le cadre du suivi statistique de l'épidémie. Elle a par exemple appuyé l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) lors de la régulation nationale de certains médicaments en tension. Pendant toute la durée de la crise sanitaire, la DREES a publié chaque semaine les données sur le nombre de tests de dépistage du Covid-19 réalisés et les délais d’obtention des résultats. À partir de juillet 2021 et jusqu’à la fin de la crise, la DREES a par ailleurs publié les données sur le statut vaccinal des personnes hospitalisées et de décédées.

L’implication de la DREES pendant la crise sanitaire s’est également traduite, entre autres, par l’adaptation d’enquêtes en cours, dans le domaine de la santé ou du social, et par la mise en place d’enquêtes spécifiques, notamment l’enquête EpiCov, pilotée en collaboration avec l’Inserm. Cette enquête a permis de fournir une cartographie globale et scientifiquement fiable du statut immunitaire de la population et de sa dynamique, sur l'ensemble du territoire, via la collecte d'échantillons biologiques couplée à des questionnaires.

La DREES a mobilisé le panel d’observation des pratiques et des conditions d’exercice en médecine générale dans le cadre de la crise, en interrogeant les praticiens sur leur activité dans ce contexte particulier, leur opinion sur l’épidémie, les gestes barrière, la vaccination etc.

Dans le champ du social, la DREES a mis en place un suivi des prestations de solidarité réalisé avec le concours des organismes gestionnaires de ces prestations ainsi qu’un suivi des bénéficiaires de l’aide alimentaire avec l’Insee. Elle a par ailleurs mobilisé différentes enquêtes et réalisé des études sur les populations particulièrement exposées à la crise sanitaire et ses effets (personnes âgées, jeunes).

 

Dépistage

Délais des tests RT-PCR et antigéniques

Pendant toute la durée de la crise sanitaire, la DREES a publié chaque semaine les données sur le nombre de tests de dépistage du Covid-19 réalisés et les délais d’obtention des résultats, problématique cruciale en matière de prévention (une obtention rapide des résultats permettant de mettre en place plus rapidement les mesures d’isolement, et de limiter les contaminations).

Ces données sont mises à jour chaque jeudi. Accéder aux dernières données.

 

Vaccination

Statut vaccinal des personnes hospitalisées

La DREES a exploité les données pseudonymisées issues des trois principales bases de données sur la crise Covid-19 :

  • SI-VIC (hospitalisation),
  • SI-DEP (dépistage),
  • VAC-SI (vaccination).

Elle a réalisé des appariements entre ces bases, notamment un suivi selon le statut vaccinal des personnes testées positives au Covid-19 et des personnes hospitalisées, permettant ainsi d’évaluer l’efficacité vaccinale. Les données ont été publiées à intervalle régulier durant toute la crise et continuent d'être mises à jour périodiquement. Accéder aux données.

D’autres publications de la DREES sur la vaccination :

 

Hospitalisation

La DREES s’est intéressée  à la prise en charge des patients à l’hôpital lors des différentes vagues de l’épidémie. Ses études éclairent l’évolution des soins mobilisés au regard notamment de la campagne de vaccination et de l’apparition des différents variants.

Santé mentale

La santé mentale de la population, qui s’est globalement dégradée sous l’effet de la crise sanitaire, a fait l’objet de plusieurs publications de la DREES.

Mortalité

La DREES a analysé et comparé les différentes séries de statistiques permettant d’apprécier les impacts de la pandémie de Covid-19 sur la mortalité en France. Dans une étude publiée en octobre 2022, elle montre que ces chiffres, bien que différents, sont complémentaires et que leurs résultats ne sont pas contradictoires.

Covid-19 et mortalité : les chiffres disponibles et leurs usages (20/10/22)

Avec le Centre d’épidémiologie des causes médicales de décès de l’Inserm (CépiDc-Inserm) et Santé Publique France (SPF), elle a par ailleurs publié une étude sur les causes médicales de décès des personnes résidentes et décédées en France en 2020.

Covid-19 : troisième cause de décès en France en 2020, quand les autres grandes causes de décès baissent (16/12/2022)

Inégalités socio-économiques

La crise sanitaire met en lumière certaines inégalités sociales et territoriales de santé. Les risques d’infection et de développement de formes sévères sont inégalement répartis au sein de la population, du fait d’hétérogénéités dans l’exposition au virus, le recours à la vaccination, la distribution des facteurs de risque de complications et dans l’accès aux soins.

Grâce un appariement inédit, au niveau individuel, entre les données SI-VIC (relatives aux patients hospitalisés et atteints du Covid-19) et les données Fidéli (fichiers démographiques de l’Insee sur les logements et les individus), la DREES a pu documenter ces inégalités.

Prestations de solidarité pendant la crise sanitaire

La DREES a effectué un suivi des prestations de solidarité durant la crise sanitaire. Réalisé avec le concours des organismes gestionnaires de ces prestations, cette publication rassemble les données mensuelles puis trimestrielle les plus récentes. Elle vise à éclairer les effets de la crise sanitaire, y compris à l’échelle des territoires, sur l’évolution de la pauvreté en France.

Cet état des lieux régulier fournit des informations sur les effectifs nationaux et départementaux des allocataires :

  • du revenu de solidarité active (RSA),
  • de l’allocation aux adultes handicapés (AAH),
  • de l’allocation de solidarité spécifique (ASS),
  • de la prime d’activité,
  • des aides au logement,
  • des bénéficiaires de la Garantie jeunes.

Consulter les données

Publics particulièrement exposés à la crise et ses effets

Personnes âgées

En complément des chiffres publiés régulièrement par Santé publique France pour suivre la situation des résidents d’Ehpad, la DREES s’est intéressée à l’analyse des infections au niveau des Ehpad et à la vaccination des résidents et son effet sur la contamination des résidents.

Jeunes

Les jeunes étant un public particulièrement exposé aux effets de la crise, plusieurs études de la DREES portent sur cette population.

Bénéficiaires de l’aide alimentaire

Un dispositif de suivi de l’aide alimentaire en France a été mis en place par l’Insee et la DREES, en collaboration avec le secteur associatif et l’Union Nationale des Centres Communaux et intercommunaux d’Action Sociale (UNCCAS). L’étude des évolutions de l’aide alimentaire, en tant que marqueur du basculement dans la grande pauvreté, s’inscrit dans la démarche d’observation des impacts sociaux de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19.

D’autres travaux de la DREES portent sur la crise sanitaire : les consulter.